DJAL-FANM-FEMME-HiARO-MULHER-MUYÈ-TiNO-UMAN-WAiWi-WOLi-WOLii-WOMAN
LARÈL
KAMALAKULi MATO (Note d'opportunité)
LÉYON KAMALAKULi
MATO (Historique de Kamalakuli Mato)
KAMALAKULi MATO 2001
3zyenm bi (Bilan Kamalakuli Mato 2001 3è édition)
DÈRNYÉ
NÒV KAMALAKULi MATO 2003 4yenm bi (Nouveautés
de Kamalakuli Mato 2003 4ème édition)
DÈYÈ-DiMEN
(Perspectives)
KONTÉZ-YA (Conteuses invitées)
SOUZÈV (Pré-programme 4ème édition)
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KRAKÉMANTÒ
!
(Continue ton mensonge !)
C'est ainsi qu'après son intervention le conteur-réveilleur
apostrophe le maître-conteur et lui intime l'ordre de poursuivre
son délire verbal.
Si le maître-conteur ment, le conteur réveilleur lui, dit
toujours la vérité. Il était là, il a vu entendu.
Il dit la parole véritable.
Mais au-delà de la joute entre conteurs, il ramène
le maître-conteur du songe (voire de la transe) de la parole, à
la réalité. Il lui permet aussi de souffler pour que
la parole puisse de nouveau par sa bouche continuer son chemin entre réel
et imaginaire.
C'est ce rôle que l'association KRAKÉMANTÒ reprend
à son compte. Réveiller la parole conteuse, faire en sorte qu'à
l'image de nos fleuves, son lit ne soit jamais tari.
Par ce bouche à oreille elle veut réanimer la parole sérieuse,
la parole blagueuse, la parole vicieuse, la parole précieuse...
En moins d'un an après trente douze mille siècle de
saison botan KRAKÉMANTÒ a de nouveau gonflé le lit de
nos fleuves.
De soirées-contes en journaux, d'émissions radios en festivals,
KRAKÉMANTÒ ambitionne d'impulser une véritable politique
culturelle du conte, première littérature de l'humanité.
Mais nous avons besoin de vous, de votre parole pluvieuse pour que les
crues viennent à l'image de l'Autre fleuve fertiliser les dégrads
du kont, du mato, de l'anasi tolil+.
Alors,... KONTiNWÉ KRAKÉ MANTÒ ! |
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LARÈL KAMALAKULi MATO
(Note d'opportunité)
KAMALAKULi
premier nom de Saint-Laurent du Maroni dans une des langues guyanaises
: le Kali'na
MATO
Conte, dans une autre des langues guyanaises : le Aluku-tongo
Les littératures existantes aujourd'hui sont directement
issues de la littérature orale. Cette littérature étant
la première de l'humanité il nous parait important de la pérenniser.
Les pays industrialisés l'ont bien compris, et on assiste depuis une
dizaine d'années à un Renouveau du Conte en Europe.
Les contes en Guyane traversent toutes les communautés.
Quelques soient les cultures ou les langues, on retrouve bien souvent d'une
partie à l'autre de la Guyane et même du globe, les mêmes
contes et la même parole. KRAKÉMANTÒ s'inscrit dans
une démarche résolument interculturelle, à l'image du
Bouillon d'Awara ! Dans nos soirées
ou nos festivals, les conteurs s'expriment dans leurs langues, et le public
adhère de plus en plus à cette démarche. A l'instar
de l'écrivain Edouard GLiSSANT, pour KRAKÉMANTÒ, au-delà
de la compréhension de la Langue du Conte, l'important est de comprendre
Le Langage Diversel du Conte.
"...Le verbe était au commencement, au cours et au décours
de toute condition humaine...Mais les derniers conteurs s'en vont et en tant
qu'héritiers de leur Parole, ils nous appartient de faire en sorte
qu'elle participe pleinement au dialogue des cultures..." (Bertène
JUMiNER in "La parole de nuit"-Gallimard, 1994)
Depuis plus de CiNQ ans, l'association KRAKÉMANTÒ
s'attache à faire revivre cette Parole et à favoriser ce dialogue
des cultures par le biais de soirées-contes et d'émissions
radio ouvertes à tous les conteurs.
Faire venir des conteurs (professionnels ou amateurs) ayant l'habitude
de participer à des festivals de contes, est aussi une façon
de stimuler nos anciens et nos jeunes pour les amener à conter et
donc à transmettre, dans des conditions autres que traditionnelles
(conditions qui n'existent d'ailleurs pratiquement plus). Il s'agit aussi
par ce biais de sortir le conte de son image "folklorisante".
Cependant en dehors du Festival, KRAKÉMANTÒ s'implique toute
l'année dans le conte et ce, sous différentes formes ("traditionnelles",
formation, information, vulgarisation... etc). En effet, pour nous la forme
"spectaculaire" (ou "contemporaine" ?) du Festival n'est nullement antinomique
de la forme "traditionnelle", nous souhaitons d'ailleurs que cette dernière
reste toujours vivace.
Les objectifs de KAMALAKULi MATO (Festival International des
Conteurs) sont donc multiples :
-Un moment culturel et festif fort pour une "communauté d'oreilles
et de bouches".
-Un des multiples chemins pour la réactivation de la transmission
du patrimoine oral que l'association KRAKÉMANTÒ s'engage
à continuer d'entretenir.
-Un des multiples layons pour l'émergence de nouveaux conteurs
("traditionnels" ou "contemporains")
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viré laro
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LÉYON KAMALAKULi MATO
(Historique de Kamalakuli Mato)
-1ère édition. En juin 1998, à
l'occasion de la Commémoration du Cent Cinquantenaire de l'Abolition
de l'esclavage, la Mairie de Kamalakuli (Saint-Laurent du Maroni) faisait
appel aux associations afin de proposer des manifestations culturelles. Après
un an d'existence et d'activité intense KRAKÉMANTÒ fondée
le 10 juin 1997 (date de la commémoration de l'Abolition de l'esclavage)
organise le premier Festival international des Conteurs
MAYOURi MATO. Cette "NUiT DES CONTEURS" qui ne durait...qu'une nuit
! s'étendait à la Caraïbe créolophone.
-2ème édition. En juillet 1999,
à l'occasion du cinquantenaire de la Ville de Kamalakuli (Saint-Laurent
du Maroni) KRAKÉMANTÒ propose sa deuxième "NUiT DES
CONTEURS". Au-delà de la Caraïbe nous étendons ce Festival
à la Réunion et à l'Afrique avec pour la première
fois un conteur "professionnel".
-3ème édition. "Timoun pa ti ròch"
(les enfants ne sont pas des pierres, ils grandissent !) Juillet 2001,
le Festival prenant de l'importance, rebaptisé KAMALAKULi MATO en
référence au nom guyanais de Saint-Laurent du Maroni, nous
décidons d'en faire une biennale et de l'étendre sur 3 jours.
A cette occasion nous l'étendons à la France Hexagonale ainsi
qu'à d'autres conteurs "professionnels"
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viré laro
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KAMALAKULi MATO
3zyenm bi
(Bilan Kamalakuli Mato 3è édition )
-Lakour (Le public)
KAMALAKULi MATO 3ème édition, fut un succès
populaire, un moment culturel fort. Près de 1200 personnes ont écouté
pendant trois jours une vingtaine de conteurs en plusieurs langues (bouchinengétongo,
français, kali'na, kréyòl : guadeloupéen-guyanais-martiniquais-réunionais-saint-lucien).
Le public est maintenant fidélisé.
-Kontèr-ya (Les conteurs)
Les conteurs ont été ravis de pouvoir s'exprimer devant
un public si réceptif. De plus l'échange entre conteurs a été
bénéfique à plus d'un titre. Chacun a pu découvrir
les différentes façon de conter et le répertoire de
l'un ou l'autre. Des liens forts ont pu être tissés entre conteurs.
Après Hassane KOUYATÉ en 1999, célèbre
conteur issu d'une grande famille de Griots du Burkina-Faso, cette année
2001 nous avons eu pour la deuxième fois la présence
de conteurs professionnels, Franswa ROBERT de La Réunion, Aimée
DOUCE et Bruno de La SALLE, ce dernier conteur internationalement connu,
est à l'origine du Renouveau du Conte en France.
-POUKiSA ROULO-BRAVO (Les raisons
de ce succès)
L'habitude d'assister à des soirées-contes
s'était perdue. Le fait même de rassembler un public pour écouter
une parole en dehors de toute animation musicale semblait voué à
l'échec.
Nous avons donc mis en place plusieurs actions pour
réactiver cette propension à l'écoute afin d'arriver
à un Festival réussi :
-isenulupili
KRAKÉMANTÒ a réalisé et animé
depuis juin 1997 une émission radio hebdomadaire sur R.L.M. 100.1
Cette émission, ISENULUPiLi ("Antan lontan" en langue
Kali'na), de courte durée (une demi-heure), recevait des conteurs
ou simples amoureux du conte. Les contes étaient dits avant tout
dans la langue du conteur.
C'est ainsi que des contes en langues : bushinengé, brésilienne,
créole (guadeloupéen, guyanais, haïtien, martiniquais),
française, kali'na, ont été diffusés. L'auditoire
sans cesse grandissant nous a permis d'envisager l'organisation de
soirées-contes.
-Lavéyé-kont (Les soirées-contes)
Depuis décembre 1997, KRAKÉMANTÒ organise
et participe à des soirées-contes dans divers quartiers de
Kamalakuli et d'autres communes. Ces soirées sont animées
par plusieurs conteurs et ne dépassent pas deux heures. La variétés
des conteurs et la courte durée des soirées, a permis de
réactiver l'écoute vivante des contes et de constituer un
public "noyau".
Ces soirées sont importantes pour Krakémantò, car
à côté du Festival où l'aspect scénique
est privilégié, il s'agit ici de faire perdurer la forme des
veillées traditionnelles.
-Montré-chimen-an (La formation)
C'est un point essentiel pour nous. Il ne s'agit pas díavoir
le monopole du conte, nous tenons à former et à lancer d'autres
conteurs en dehors de l'association. Krakémantò a animé
des formations dans le cadre du BEATEP, du BAFA, à L'Éducation
Nationale, en Collège et en Lycée, et à la demande
d'associations.
Depuis septembre 2000 nous avons aussi mis en place sur Kamalakuli
5 ateliers-contes à la suite de l'envoi en stage de perfectionnement
d'un conteur de l'association.
-Toujou-paré (La disponibilité)
KRAKÉMANTÒ a en outre toujours participé aux
diverses manifestations où nous étions sollicités (fête
de Kamalakuli, Chanté-Noël, animations dans des centres aérés,
kermesse d'association, Salon du Livre de Cayenne, Projet APAC, etc...)
-Baylavwa (La médiatisation)
KRAKÉMANTÒ a tenu à médiatiser
toutes ses interventions aussi bien en télévision, radio
qu'en presse.
N'oublions pas ce nouveau média qu'est internet. KRAKÉMANTÒ
a depuis octobre 1997 son site internet : http://www.krakemanto.gf
En plus du côté informatif, il s'agissait d'éliminer
les clichés éculés sur les conteurs traditionnels
en inscrivant ces derniers de plein pied dans la modernité.
-Anoumenm-kénoumenm (La convivialité)
:
C'est le maître mot du Festival! La qualité d'écoute
du public, la qualité du don de soi des conteurs, sont le résultat
de cette convivialité.
Le public se reconnaît pleinement dans
ce Festival et ses organisateurs. C'est SON Festival, il se l'est approprié.
L'instant du Festival, le public se retrouve comme une grande communauté
familiale (c'est d'ailleurs dans cet esprit familial, convivial en tout temps
et en tout lieu que les veillées-contes se déroulaient). C'est
ainsi que le public est toujours prêt à nous suivre dans la
découverte d'autres horizons du conte. C'est d'ailleurs lui qui nous
a poussé à organiser cette quatrième édition !
Les Saint-Laurentains sont fiers d'avoir leur Festival International des Conteurs.
Les conteurs. Ils ont
été agréablement surpris de la convivialité de
notre festival. La convivialité commence des les premiers contacts.
En effet les membres de Krakémantò, fortement impliqués
dans le conte, connaissent et comprennent les attentes et les exigences artistiques
des conteurs. Le Directeur du festival étant conteur lui même,
les a pour la plupart déjà côtoyés. La convivialité
continue dès l'arrivée à l'aéroport, pour se
poursuivre jusqu'à Kamalakuli. Le fait que les conteurs passent tout
le festival ensemble (déjeuner, dîner, hôtel, spectacles...)
renforce les liens entre eux. Mais, le plus important selon nous, est la
position géographique de Kamalakuli . Loin d'être un handicap,
les trois heures de route depuis Cayenne agissent comme un ferment et permettent
que se créée une vraie communauté de conteurs et là
c'est bien de conte qu'il s'agit ! Communauté de public, communauté
de conteurs, les ingrédients sont là pour faire de KAMALAKULI
MATO un festival unique en son genre où le terme CONVIVIALITÉ
prend tout son sens.
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viré laro
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DÈRNYÉ NÒV KAMALAKULi MATO 4yenm bi
(Nouveautés de Kamalakuli Mato 4ème édition)
*DJAL NETi : cette année le Festival invitera
exclusivement des conteuses. Nous voulons ainsi rendre un hommage à
ces femmes "passeuses" de tous temps et de toutes contrées (mères,
grand-mères, tantes) qui, bien qu'étant peu présentes
dans les grandes occasions de contes (lavéyé, bookode, epekodonon,
veillées-contes...) ont toujours assuré avec abnégation
leur rôle de transmission de la tradition orale auprès des enfants
pendant que les hommes-conteurs "faisaient le spectacle". C'est elles qui
ont préparé les oreilles et les bouches "des demains".
*KRUTU KONT : paroles libres des conteurs, de
lakour (l'auditoire) aura lieu sur eux, le conte, leurs envies, le devenir
du conte, réflexions quant à une véritable politique
culturelle pour le conte...etc.
*KARBÉ-KONT : Lors des éditions
précédentes, il nous a été reproché de
ne pas assez "profiter" de la présence d'une telle diversité
de conteurs, et surtout de ne pas penser aux enfants. Cette année seront
proposées plusieurs animations pour enfants dans les maisons de quartier
de Kamalakuli (Saint-Laurent du Maroni) et à Awala-Yalimapo avec toutes
les conteuses invitées.
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viré laro
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DÈYÈ-DiMEN
(Perspectives)
En cinq ans d'existence, KRAKÉMANTÒ, a
pu organiser trois éditions d'un Festival international réunissant
des conteurs du Burkina-Faso, Dominique, France hexagonale, Guadeloupe, Guyane,
Haïti, La Réunion, Martinique, Sainte-Lucie, Surinam.
Une nouvelle dynamique du conte s'enclenche en Guyane et l'on fait
de plus en plus souvent appel à des conteurs pour des animations,
des formations à l'art du conte... Ce festival loin d'être
uniquement festif, est un véritable catalyseur du
conte en Guyane.
L'écoute et la pratique vivante du conte ont été
réamorcées. Des parents nous ont avoués s'être
souvenu des contes de leur enfance, et se sont mis à raconter à
leurs enfants. Les conteurs guyanais deviennent plus exigeant quant à
la qualité de leurs engagements aux contées et à celle
de leur prestation.
Mais beaucoup de chemin reste à faire.
KRAKÉMANTÒ est maintenant une référence
dans le domaine du conte, aux côtés d'associations pionnières
comme MASAK.
Nos conteurs sont reconnus à l'extérieur, c'est ainsi
que nous avons été présélectionnés pour
les Jeux de la Francophonie en 2001, c'est ainsi que KAMALAKULi MATO est
connu et reconnu dans le monde des conteurs créolophones et francophones
(Afrique, Antilles, Canada, France ). C'est ainsi que l'image de Kamalakuli
(Saint-Laurent du Maroni) voyage par le biais de nos amis conteurs.
Il faut cependant consolider ces acquis :
KAMALAKULi MATO doit devenir une Biennale gérée
par des professionnels ou une institution culturelle souhaitant s'engager
dans une véritable politique culturelle pour le conte1
. Notre ambition est que ce Festival, d'années en années, s'étale
sur une ou plusieurs semaines, que des stages de formation à l'art
du conte, des résidences de conteurs (extérieurs mais aussi
guyanais) se greffent. Des conteurs guyanais pourront à leur tour
être invités à d'autres festivals, (plusieurs précédents
ont déjà eu lieu avec l'invitation au Festival du Marin en
Martinique, au Forum Kréol à La Réunion, au Carrefour
des Cultures en Guadeloupe, au Festival de la Ville de Créteil...etc...de
conteurs guyanais).
Tout cela à côté toujours de la pratique "traditionnelle"
du conte.
KAMALAKULi MATO ainsi que KRAKÉMANTÒ sont maintenant
répertoriés dans "LE RÉPERTOiRE PERMANENT DE LA TRADiTiON
ORALE" édité par le Centre Méditerranéen
de Littérature Orale2
. C'est d'ailleurs le seul festival de contes d'un DOM-TOM référencé.
Nous pensons que ce festival doit garder sa forme actuelle encore
deux ou trois ans.
La formation ne pourra s'installer de façon fructueuse qu'une
fois que l'engouement pour le conte se sera transformé en réel
désir de conter.
Il ne s'agit donc pas d'un festival de simple consommation culturelle,
mais d'un festival qui aura entre autres objectifs d'arriver à une
véritable production culturelle autour du conte.
La Mairie, la DRAC et la Région qui ont très bien
mesuré l'enjeu d'une telle manifestation nous ont toujours apportés
leur soutien pour faire de KAMALAKULi MATO un festival incontournable.
Cette année après avoir fait la preuve que ce Festival
était viable tant dans la forme que dans le fond, nous leurs demandons
un effort un peu plus conséquent au niveau financier. Ce festival
est d'ailleurs mentionné sur la page internet des "Plus beaux parcours de France" consacrée à
Kamalakuli (Saint-Laurent du Maroni)
(http://www.plusbeauxdetours.com/fr/villes%20centre/stlaurent.htm)3
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KAMALAKULi MATO
4ième édition
aura lieu les 3, 4 et 5 juillet 2003
SiBONDJÉLÉ !
BONDJÉTÉLÉ
KiDONK, i FÈT
i BYEN FÈT CHWiTMAN !!! |
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viré laro
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CONTEUSES iNViTÉES
La Réunion : Anny GRONDiN ;
Paris : Catherine ZARCATE, Praline GAY PARA, Sandra NKAKÉ
;
Guadeloupe : Joseline PETER ; Dominique
: Colina BAZiL ;
Cayenne : Alice PORTUT, Odile ARMANDE LAPiERRE ;
Macouria : Mauricienne FORTiNO ; Kourou
: Assunta RENAU FERRER ; Maripasoula
: Ti'iwan COUCHiLi-MAUREL ;
Kamalakuli : Martine PALTON, Claire VERGER.
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PROGRAMME
KAMALAKULi MATO 4ème
édition
DJAL NETi(La
Nuit des Conteuses)
3, 4 et 5 juillet
2003 à Kamalakuli
Mercredi 2 JUiLLET 2003
-Arrivée en Guyane des conteuses de l'Autre Bord (La
Réunion, France, Guadeloupe, Dominique, Martinique)
Jeudi 3 JUiLLET 2003
-19h30
au Cinéma Le Toukan
-----UN ALLER PAS Si SiMPLE-----
avec Praline GAY-PARA
et Sandra NKAKÉ
Vendredi 4 JUiLLET 2003
-9h00 - 12h30
au CCL de Kamalakuli
-----"KRUTU KONT"-----
(paroles ouvertes)
Paroles de conteuses,
de lakour (auditoire). Vers un Centre du Conte à
Kamalakuli ? Discussions, réflexions sur la mise en place d'un
Centre du Conte...
en présence des
conteuses du Festival et de toutes institutions ou personnes intéressées
avec la collaboration
de la Bibliothèque Municipale de kamalakuli
-16h30 - 17h15
dans les maisons de quartier de Kamalakuli
(ACCOB, Balaté, Charbonnière, Padòk...) et à
Yalimapo
-----"KARBÉ
KONT"-----
(animations-contes "pour enfants")
avec les "Brigades de Conteuses" :
Alice PORTUT,
Anny GRONDiN, Assunta RENAU FERRER, Claire VERGER, Colina BAZiL, Joseline
PETER (Léjòs), Martine PALTON, Mauricienne FORTiNO, Odile ARMANDE-LAPiERRE,
Praline GAY-PARA, Sandra NKAKÉ, Ti'iwan COUCHiLi-MAUREL
avec la collaboration
de la Bibliothèque Municipale de Kamalakuli et de l'association Yawoya
Dele de Yalimapo
19h30
au Cinéma Le Toukan
-----BAZAR DE NUiT-----
avec Catherine ZARCATE
Samedi 5 JUiLLET 2003
-16h30 - 17h15
dans les maisons de quartier de Kamalakuli
(ACCOB, Balaté, Charbonnière, Padòk...) et à
Yalimapo
-----"KARBÉ
KONT"-----
(animations-contes "pour enfants")
avec les "Brigades de Conteuses" :
Alice PORTUT,
Anny GRONDiN, Assunta RENAU FERRER, Catherine ZARCATE, Claire VERGER, Colina
BAZiL, Joseline PETER (Léjòs), Martine PALTON, Mauricienne
FORTiNO, Odile ARMANDE-LAPiERRE, Praline GAY-PARA, Sandra NKAKÉ, Ti'iwan
COUCHiLi-MAUREL
avec la collaboration
de la Bibliothèque Municipale de Kamalakuli et de l'association Yawoya
Dele de Yalimapo
19h30
au Cinéma Le Toukan
-----DJAL NETi-----
(La Nuit des Conteuses)
Alice PORTUT, Anny
GRONDiN, Assunta RENAU FERRER, Catherine ZARCATE, Claire VERGER, Colina
BAZiL, Joseline PETER (Léjòs), Martine PALTON, Mauricienne
FORTiNO, Odile ARMANDE-LAPiERRE, Praline GAY-PARA, Sandra NKAKÉ, Ti'iwan
COUCHiLi-MAUREL
Dimanche 6 JUiLLET 2003
-7h30 Départ vers Awala-Yalimapo RENCONTRE AVEC UNE
TRADiTiON ORALE MiLLÉNAiRE DE GUYANE échanges avec les conteurs
d'Awala-Yalimapo et de Galibi, découverte de Kalawasi undi,
koswin (à 1h30 de canot d'Awala-Yalimapo)
-17h00 Départ sur Cayenne.
Lundi 7 JUiLLET 2003
-18h30 Départ des conteuses de l'Autre Bord (Martinique,
Dominique, Guadeloupe, France, La Réunion)
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viré laro
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DJAL-FANM-FEMME-HiARO-MULHER-MUYÈ-TiNO-UMAN-WAiWi-WOLi-WOLii-WOMAN |